– Avec un engrais naturel : l’urée, facile à produire et très soluble dans l’eau, il serait possible de favoriser la multiplication du plancton qui a pour effet de fixer le CO2 en quantité proportionnelle à sa biomasse.
L’opération est délicate pour la survie des poissons tributaires de la quantité de plancton. Opération modulable et réversible.
Une autre expérience de ce type aurait fait pleurer de joie des scientifiques quelques mois après avoir délivré quelques tonnes de fer dans l’eau de mer d’une zone très pauvre en plancton : le plancton est apparu, visible par satellites. Cependant, le fer ne manque que dans de rares zones des océans.
– Enfin, des forêts d’arbres artificiels capables de fixer le CO2 sans consommer l’oxygène pourrait être “installées”. Le CO2 capté « à la manière des arbres », sous une forme transportable, serait ensuite enfouie pour des millions d’années dans de très grands fonds marins composés de roches poreuses.
Pour idée, un arbre artificiel serait capable de fixer l’équivalent en CO2 de 20 000 automobiles.
Tous les éléments de choix n’ont pas été présentés, tels que le coût énergétique des deux derniers procédés. Mais nous faisons confiance…
Aucun n’a vraiment souhaité que ces projets sortent des cartons.
Ces 5 procédés futuristes donnent-ils quelque espoir au monde pour poursuivre sur sa lancée ?
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